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Le Hobbit

Le Hobbit n’était pas censé être un livre illustré, mais lorsque l’éditeur a vu les dessins et les peintures de Tolkien, il a considéré qu’ils accompagnaient parfaitement le texte et ils ont été rapidement ajoutés au livre.

« La Colline : Hobbiteville de l’autre côté de l’Eau », août 1937. Une version en noir et blanc de cette image était incluse dans la première édition mais peu de temps après Tolkien la modifia légèrement et peignit une version en couleur pour la première édition américaine.

« Fendeval vue vers l’ouest », début des années 1930. Cette esquisse partielle de Fendeval fut probablement faite alors que Tolkien écrivait le texte. Il dessinait souvent des scènes pour clarifier sa description en même temps qu’il écrivait.

« Fendeval vue vers l’est », début des années 1930. Ce dessin servit de base à une aquarelle de Fendeval peinte en 1937 dans laquelle les parois de la montagne sont représentées plus rapprochées, ce qui intensifie la profondeur du gouffre et le caractère secret de l’emplacement de la « dernière maison hospitalière »

« Les Montagnes de Brume vues du haut de l’Aire des Aigles, regardant vers l’ouest et la portes des Gobelins », janvier 1937. Cette image n’a pas été utilisée dans le livre. L’illustration finale est pratiquement identique mais Tolkien remplaça les arbres stylisés représentés ici par des pins plus réalistes.

« Bilbo se réveilla avec le soleil de l’aurore dans les yeux », 1937. Tolkien utilisa un jaune chaud, qui contraste avec le bleu glacial et le blanc du ciel, pour produire cette merveilleuse évocation des rayons de soleil matinaux touchant la montagne.

« Feu de cheminée dans la Maison de Beorn », janvier 1937. Tolkien dessina deux esquisses préparatoires et deux compositions terminées pour le hall de la maison de Beorn. Elles ressemblent aux salles des banquets où les guerriers anglo-saxons se rassemblaient pour festoyer, boire et dormir.

« La Porte du Roi des Elfes », 1936. Tolkien dessina de nombreuses versions de cette scène avant d’arriver à cette image frappante de la forteresse du Roi des Elfes.

« Bilbo arrive aux huttes des Elfes des radeaux », juillet 1937. Tolkien fut déçu quand cette illustration fut omise de l’édition américaine car c’était sa favorite, celle où il avait la sensation qu’il avait le mieux réussi à saisir la scène.

« La Grande Porte », décembre 1936. Cette illustration en noir et blanc saisissant représente la désolation du paysage devant la Montagne Solitaire : stérile et sans vie après la longue occupation par le dragon. L’arbre brûlé au premier plan semble dresser ses branches en un signe d’avertissement ou de capitulation.

« Conversation avec Smaug », juillet 1937. Ce tableau richement coloré montre Smaug avec sa queue enroulée de manière possessive autour du trésor. Bien que Bilbo soit invisible (indiqué par le nuage qui l’entoure), il ne veut prendre aucun risque et s’incline profondément pour apaiser le dragon.

« La Mort de Smaug », vers 1936. Tolkien n’avait pas l’intention de publier cette illustration rustique mais de nombreuses années plus tard, l’esquisse fut utilisée comme dessin de couverture pour l’édition de poche du Hobbit chez Unwin en 1966.

« Le hall de Cul-de-Sac, résidence de M. B. Bessac », janvier 1937. Le trou de hobbit confortable de Bilbo contient les attributs d’une maison anglaise aisée typique des années 1930 : à part bien-sûr pour sa porte ronde et sa forme arrondie !